jeudi 1 mars 2007

QUELQUE PART, IL PLEUT


Sur le bord de la fenêtre je regardais ruisseler,
l'eau que goutte à goutte venait de tomber.
La terre inondée, les pleurs de tilleul
la rose fanée, reposant dans le deuil.

Le soleil est revenu, les lacs se sont agités,
les enfants de la rue se sont remis a jouer
La bouée que je fis fracassa la fenêtre,
et comme passe l'ennui , elle décida de disparaître.

Oh! toi couché du soleil par delà des océans.
Oh! toi belle merveille que j'aime tendrement
Entre le jour et la nuit, entre la peur et l'ennui
reposent les saisons de la nature et ses chansons

Si les animaux sauraient dire comment ils se sentent
bien, l'homme, lui peut jouir de toute son regain.

Comment expliquer aux hommes de la terre,
que si la nature n'est-elle pas sauvée,
que la terre toute ronde sera à l'envers
et que tout le monde, ira en enfer.

© Cecilia León P.

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