samedi 23 juin 2007

LUNA DESORDENADA



DE ABUELO




Ofelia duerme

el abuelo sueña

la Luna se ríe

es Primavera.

OFELIA


1 Y 2 OFELIA
3 CON SU ABUELO JAIME

jeudi 8 mars 2007

APRESURAMIENTO DE LUNA



Vivo el paso en tus veredas
He caminado por ellas

Vestido de pretéritos

Estremecidos de tierra

Pero ese sendero eres tú
Sembrado en mis orillas
Como alabanza de grillos
Y girasoles al pasar.


Presentí tu anunciación
Como profeta y bandido
Vendrías más al futuro
Recorriendo en la tarde
Ríos cristalinos
Celebrando el vino
Con tus labios cerillos
Embriagados de viñas.

Yo llegaría de cualquier lado
En un caballo de luna
A mecerte allí en tu cuna
Y a esperar mi desvelo
Nieta de terciopelo
Amor y fantasías.

© Monsieur James

mardi 6 mars 2007

LUNA - CUMPLEAÑOS DEL TATA


Diciembre 12 2006 à Québec

MÈRE ET FILLE


Cécilia et Luna

samedi 3 mars 2007

AVEC TATA - FÉVRIER 2007


Trop petite pour lire, quand même, Tata

MOI MEME, LUNA


J'ai perdue l'un de mes bas

jeudi 1 mars 2007

AVEC L'ONCLE PABLO

AVEC MA MÈRE


AVEC L'ONCLE CLAUDIO


AVEC TATA


CON MI BISABUELA ADRIANA


QUELQUE PART, IL PLEUT


Sur le bord de la fenêtre je regardais ruisseler,
l'eau que goutte à goutte venait de tomber.
La terre inondée, les pleurs de tilleul
la rose fanée, reposant dans le deuil.

Le soleil est revenu, les lacs se sont agités,
les enfants de la rue se sont remis a jouer
La bouée que je fis fracassa la fenêtre,
et comme passe l'ennui , elle décida de disparaître.

Oh! toi couché du soleil par delà des océans.
Oh! toi belle merveille que j'aime tendrement
Entre le jour et la nuit, entre la peur et l'ennui
reposent les saisons de la nature et ses chansons

Si les animaux sauraient dire comment ils se sentent
bien, l'homme, lui peut jouir de toute son regain.

Comment expliquer aux hommes de la terre,
que si la nature n'est-elle pas sauvée,
que la terre toute ronde sera à l'envers
et que tout le monde, ira en enfer.

© Cecilia León P.

FRANCIS


QUELQUE PART, CECILIA


Laissant le jour croiser la nuit
je m'enfouit à saut sourd
dans un décor à peine peint
qui m'attend au loin

Les heures ambulantes ainsi
sur des cris des oiseaux
et s'accrochant à des cliquetis
d'un montre, j'attends.

Soudain, l'aiguille du cadran
frappe à coup sur l'heure du départ
et le signal de 15 heures
se fit ouïr dans l'écho du village.

M'empressant, donc de monter
sur cette embarcation rudement rouillée
la ou le vent se noiera massivement
sous ce fleuve coloré d'automne
et s'occupera soigneusement
de bercer ce bateaux jusqu'à temps,
pour que celui-ci heurte le vieux Québec.

Marchant, comme une pendule
sur cette embarcation un peu étrange
n'ayant comme seul point d'appui,
mon parapluie noir
je m'allume une cigare
et me dirige vers le pont arrière.

Promptement, un froid de septembre
enveloppe mes paupières
d'une mince couche de givre et
me fait claquer des dents.

Alors, sans tarder, je décide
de rentrer dans la salle et de m'asseoir
sur cette banquette, près de la porte d'entrée
tout en essayant de me réchauffer
de mieux que je peux d'une seconde
cigare des mes mains portant la vingtaine.


Quelques minutes plus tard
je me lève et je vais rejoindre les autres passagers
qui attendent à la passerelle

Tout à coup, le bateau heurte le quai
et la violence du choc
fait tanguer les passagers

Mais pour ne pas trébucher
hélas qu'un changement d'appui
se succède, mon parapluie tomba
et un homme se prend à mon bras'

Me penchant pour ramasser mon parapluie,
je m'explique d'une vague sourire
en marmottant qu'un parapluie
si bien encombrant quand il ne pleut plus
alors d'une sorcellerie effroyable,
le bateaux coule et nous sépare aussitôt.

© Cecilia León P.